Le calcul des économies réalisables est simple ….

Vous ne vous êtes probablement jamais livré à ce calcul…..
Il est pourtant facile à réaliser et particulièrement édifiant !

Il suffit en effet d’additionner les montants de vos cotisations d’assurance maladie, de la CSG, de la CRDS ainsi que le montant annuel de votre assurance complémentaire (« mutuelle ») pour constater ce que vous coûte réellement le fait de rester assuré par l’Assurance maladie de la Sécurité sociale.

Il ne vous restera plus alors qu’à comparer avec le coût d’une assurance européenne pour mieux vous rendre compte de la (triste) réalité !

Pour les salariés :

• Cotisations d’assurance maladie :

Il convient d’additionner :

• La part salariale de vos cotisations, mais également
• La part patronale de vos cotisations d’assurance maladie maternité !
  En effet, cette part patronale vous appartient et devra donc être ajoutée par votre employeur à votre salaire, au même titre que la part salariale, si vous choisissez de quitter l’Assurance maladie.

• CSG CRDS :

Il convient d’additionner :

• La CSG / CRDS imposable sur vos salaires ou vos retraites
• La CSG non imposable sur vos salaires ou vos retraites
  En effet, le fait de ne plus dépendre, pour l’assurance maladie, d’un régime de sécurité sociale française vous dispense d’avoir à vous acquitter de la CSG et de la CRDS sur vos revenus d’activité ou de retraite (mais pas sur vos revenus immobiliers ou de placement).

• Assurance ou Mutuelle complémentaire :

Ces contrats sont rendus nécessaires par le faible niveau des remboursements de l’Assurance maladie de la Sécurité sociale.
Il convient donc de considérer que leur coût participe au coût réel de votre couverture maladie quand celle-ci est assurée par la Sécurité sociale..
Les sommes engagées s’ajoutent donc à vos cotisations, à la CSG et à la CRDS.
Vous n’aurez plus l’obligation de souscrire de telles assurances complémentaires dès lors que vous ne dépendrez plus de l’Assurance maladie.

En effet, comme vous pourrez librement choisir le niveau de couverture souhaité auprès des assurances européennes, ces complémentaires deviennent  totalement inutiles.
Il est à noter qu’aucun de ces contrats n’est obligatoire, même si présenté comme tel par votre entreprise.
De toutes façons, ces contrats sont immédiatement caducs de fait dès que vous choisissez une autre assurance que la Sécurité sociale, puisqu’ils viennent tous en complément de la seule Assurance maladie…
Les cotisations correspondantes devront donc être ajoutées à votre salaire si vous êtes dans le cas des complémentaires d’entreprise.

Pour les non salariés :

• Cotisations d’assurance maladie

Indiquées sur la notification annuelle de votre organisme d’assurance maladie (RAM, ….) ou de recouvrement (URSSAF, …)
En effet, vous n’aurez plus à régler ces cotisations si vous choisissez de vous assurer auprès d’un autre assureur.

• CSG / CRDS

Il convient d’additionner :

• La CSG déductible sur vos revenus d’activité ou vos retraites
• La CSG non déductible sur vos revenus d’activité ou de retraite
• La CRDS sur vos revenus d’activité ou de retraite
  En effet, le fait de ne plus dépendre, pour l’assurance maladie, d’un régime de sécurité sociale française vous dispense d’avoir à vous acquitter de la CSG et de la CRDS sur vos revenus d’activité ou de retraite (mais pas sur vos revenus immobiliers ou de placement)

• Assurance ou Mutuelle complémentaire :

Ces contrats sont rendus nécessaires par le faible niveau des remboursements de la Sécurité sociale.
Il convient donc de considérer que leur coût participe au coût réel de votre couverture maladie quand celle-ci est assurée par la Sécurité sociale.
Les sommes engagées s’ajoutent donc à vos cotisations, à la CSG et à la CRDS.
Vous n’aurez plus l’obligation de souscrire de telles assurances complémentaires dès lors que vous ne dépendrez plus de la Sécurité sociale.
En effet, comme vous pourrez librement choisir le niveau de couverture souhaité auprès des assurances européennes, ces complémentaires deviennent  totalement inutiles.

2°/ Choisissez votre assurance privée européenne…

En vous reportant au chapitre « Les assurances privées européennes », après avoir rempli la « Demande d’informations » vous permettant d’obtenir les conditions et tarifs de ces assurances privées.

…et définissez le montant de votre (nouvelle) prime annuelle

3./ Calculez les économies réalisées !

C’est le plus simple, bien sûr :
Vous avez fait le calcul de ce que vous a coûte l’assurance maladie de la Sécurité sociale…
Alors il ne vous reste plus qu’à soustraire le montant de vos futures primes annuelles auprès de l’assurance privée européenne de votre choix pour savoir  très précisément à combien se situera l’augmentation de votre pouvoir d’achat !